Scritto nel 1829, il romanzo narra in prima persona gli ultimi giorni di vita di un prigioniero del carcere di Bicêtre, destinato al patibolo. Qui la versione francese [traduzione in corso].
– Un salon. –
UN POËTE ÉLÉGIAQUE, lisant.
Le lendemain, des pas traversaient la forêt,
Un chien le long du fleuve en aboyant errait ;
Et quand la bachelette en larmes
Revint s’asseoir, le coeur rempli d’alarmes,
Sur la tant vieille tour de l’antique châtel,
Elle entendit les flots gémir, la triste Isaure,
Mais plus n’entendit la mandore
Du gentil ménestrel !
TOUT L’AUDITOIRE. – Bravo ! charmant ! ravissant ! On bat des mains.
MADAME DE BLINVAL. – Il y a dans cette fin un mystèr indéfinissable qui tire les larmes des yeux.
LE POËTE ÉLÉGIAQUE, modestement. – La catastrophe est voilée.
LE CHEVALIER, hochant la tête. – Mandore, ménestrel, c’est du romantique, ça !
LE POËTE ÉLÉGIAQUE. – Oui, monsieur, mais du romantique raisonnable, du vrai roman
– Un salone –
UN POETA ELEGIACO CHE LEGGE.
L’indomani dei passi attraversarono la foresta,
Un cane lungo il fiume errava abbaiando;
E quando la bachelette in lacrime
Tornò a sedersi, il cuore si riempì d’allarme,
Sulla vecchissima torre dell’antico castello,
Ella udì i flutti gemere, la triste Isaura,
Mai più udì la mandore
Del gentile menestrello!
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